Lundi 1 Août

 17ème étape entre Vila Nova do Milfontes et  Azeitao : 136 kms - 725 m D+ en 8h40 de vélo.
Des éoliennes de partout ... signe de vent, malheureusement pour nous.
Plage de Vasco de Gama à Sines
En sortant de Sines, petit passage sur une autoroute.
Lors d'une petite pause dans le village, petite discussion avec un jeune Portugais qui randonne jusqu'au Maroc.
Nous traversons la réserve naturelle des lagunes de Santo André et de Sancha.
Cette réserve naturelle est composée de la lagune de Santo André, la plus grande du littoral de l'Alentejo, d'une surface d'environ 500 hectares, et de la lagune de Sancha, plus petite, qui s'étend sur 15 hectares. Son statut de protection reconnaît la grande valeur écologique de ces deux zones humides et de leurs alentours, qui comprennent aussi le cordon de dunes qui les sépare de l'océan, ainsi que la bande maritime adjacente.
Une multitide de cigognes profitent des cultures des marais.
Presqu'île de Comporta
Après Comporta, sur une vingtaine de kilomètres nous empruntons la route parcourant la péninsule de Tróia. 
La péninsule de Tróia, une réserve naturelle de sables blancs et de pins.
A 16 heures nous arrivons à la Marina de Tróia, afin de prendre un férry.
Une heure plus tard le férry commence sa traversée de l'estuaire du Sado pour rejoindre Setubal.
Dix minutes de traversée et nous voilà au port de Setubal.
Les vélos sont les derniers à débarquer.
Après avoir débarqué du ferry, nous rejoignons le camping se trouvant à 5 kms en sortant de la ville. Malheureusement ce camping s'avére être une aire de camping-cars. Il est donc réservé uniquement aux camping-cars, faute de sanitiare. On nous indique un camping pouvant nous acceuillir. Mais nous sommes obligés d'effectuer 8 kms dans la montagne pour le rejoindre.
Dès la sortie de la ville, ça grimpe.
Et ça n'arrête pas.
Au moins, cela nous permet d'avoir une magnifique vue sur la baie de Setubal.
Et de voir de magnifiques batisses.
A quelques centaines de mètres d'arriver, une montée à plus de 20%, nous oblige à mettre pieds à terre. Mais impossible pour Philippe de descendre complétement de son vélo. Le poids du vélo et de la remorque l'oblige à garder les mains sur les freins pour éviter de reculer.
Heureusement, trois jeunes Portugais s'arrêtent en voiture pour nous aider à pousser nos vélos jusqu'au sommet de la côte.
Philippe remet ses chaussures, pendant qu'un des jeunes continu à tenir le vélo. Un grand MERCI à eux.

Il est 19 heures quand nous arrivons enfin au petit camping Picheleiros de São Lourenço.
Un camping très simple dans la nature. Parfait pour nous. 
Même si on en a bavé un peu pour y arriver.